• Joy of Music – Plus de 250 ans de qualité, innovation et tradition
Lieferzeit
2-3 Tage

La Capricieuse

violon et piano
Elgar connaissait l’art de composer une pièce fantasque ou nerveuse, ce que rend bien le nom de « Capricieuse ». Comme petit morceau de rappel après un concert sérieux, on peut difficilement imaginer plus amusant que ce « bonbon » plein de virtuosité.
Numéro du produit: VLB 168
Prix à partir de 7,99 €
TTC
Type de produit
Format papier
Partition PDF

Détails du produit

Description

Edward Elgar a écrit de grandes œuvres symphoniques pour instruments solistes avec accompagnement d’orchestre mais aussi de la musique de chambre et des œuvres occasionnelles – surtout pour le violon : « Salut d’amour » ou « Chant de nuit » p. ex.  « La Capricieuse », écrite en 1891, fait partie de cette catégorie. Elgar, lui-même violoniste, connaissait l’art de composer une pièce fantasque ou nerveuse, ce que rend bien le nom de « Capricieuse ». La charmante miniature ne peut certes concurrencer la popularité de « Pomp and Circumstance » mais, comme petit morceau de rappel après un concert sérieux, on peut difficilement imaginer plus amusant que ce « bonbon » plein de virtuosité.

Plus d'infos

Titre:
La Capricieuse
Niveau de difficulté:
avancé to difficile
Maison d'édition:
Schott Music
Opus:
op. 17
Séries:
Titre:
La Capricieuse
Niveau de difficulté:
avancé to difficile
Maison d'édition:
Schott Music
Opus:
op. 17
Séries:
Titre:
La Capricieuse
Niveau de difficulté:
avancé to difficile
Maison d'édition:
Schott Music
Opus:
op. 17
Séries:

Détails techniques

Numéro du produit:
VLB 168
ISMN13:
979-0-001-18879-1
Numéro du produit:
VLB 168
ISMN13:
979-0-001-18879-1
UPC:
841886018877
Poid:
0,08 kg
Pages :
12
Format:
23.1cm x 30.3cm
Obligatoire :
Reliure à dos agrafé
Droits de livraison:
Pour le monde entier
Numéro du produit:
VLB 168 Q20943
ISMN13:
979-0-001-18879-1
Pages :
11
Format de fichier:
(PDF / 1,73 MB)
Droits de livraison:
Pour le monde entier

Plus de cette série

Edition Schott
Violin Library

Commentaires

Écrire la première critique