• Joy of Music – Plus de 250 ans de qualité, innovation et tradition
Lieferzeit
2-3 Tage

Tango à deux

8 Tangos
violoncelle et piano
Peter Ludwig a reçu dans les années 1980 le prix de l’Académie phonographique allemande (Deutsche Phono-Akademie) pour son CD "Tango mortale". Depuis, le tango ne lui a pas laissé de répit. Les tangos pour violoncelle et piano sont un enrichissement pour le répertoire, ce sont aussi d’excellentes pièces de concert.
Numéro du produit: ED 20884
Prix à partir de 19,99 €
TTC
Type de produit
Format papier
Partition PDF

Détails du produit

Description

Pianiste, compositeur, arrangeur et chansonnier, le bavarois Peter Ludwig a de multiples talents. Il écrit de la musique de film, des chansons, de la musique de chambre, de la musique pour piano et, avant tout, de magnifiques tangos inspirés, qui jettent un pont entre l’Amérique du Sud et l’Europe. Avec la violoncelliste Anja Lechner, il reçut dans les années 1980 le prix de l’Académie phonographique allemande (Deutsche Phono-Akademie) pour son CD “Tango mortale“. Depuis, le tango ne lui a pas laissé de répit et il se produit aujourd’hui comme pianiste du trio “Tango à trois“. Les tangos pour violoncelle et piano sont un enrichissement pour le répertoire, ce sont aussi d’excellentes pièces de concert.

Contenu

Firpo Tango
Cäsar
Tango triste
Tango E
Red Velvet
Milonga
Lisboa
Tango Nuevo

Plus d'infos

Titre:
Tango à deux
8 Tangos
Niveau de difficulté:
moyen to avancé
Maison d'édition:
Schott Music
Titre:
Tango à deux
8 Tangos
Niveau de difficulté:
moyen to avancé
Maison d'édition:
Schott Music
Titre:
Tango à deux
8 Tangos
Niveau de difficulté:
moyen to avancé
Maison d'édition:
Schott Music

Détails techniques

Numéro du produit:
ED 20884
ISMN13:
979-0-001-17241-7
Numéro du produit:
ED 20884
ISMN13:
979-0-001-17241-7
UPC:
841886015265
Poid:
0,34 kg
Pages :
92
Format:
23.1cm x 30.3cm
Obligatoire :
Reliure à dos agrafé
Numéro du produit:
ED 20884 Q11327
ISMN13:
979-0-001-17241-7
Pages :
91
Format de fichier:
(PDF / 2,20 MB)

Commentaires

Écrire la première critique