Sérénade

Le compositeur aimerait, avec la distribution classique avec un trio de piano, rester proche du langage musical du 19ème siècle et, par conséquent, de l'original de Drigo. Selon lui, les deux poles "mélancolie" et "sérénité" constituent la base de sa composition et se retrouvent aussi dans le caractère de l'arlequin. Nous trouvons la mélancolie dans l'introduction libre et dans le thème central instrumenté et accompagné de façon modifée tandis que la sérénité apparaît dans la deuxième variation paraphrasée par le piano.