• Joy of Music – Plus de 250 ans de qualité, innovation et tradition
Lieferzeit
2-3 Tage

Sonate en ré majeur

violon seul
La "Sonata en Re maggiore per Violino solo" est techniquement exigeante sans être surchargée. Les mouvements lents, l'andante cantabile introductif et le largo intitulé TASSO, composé sur un chant de gondolier vénitien, donne au soliste l'opportunité de jouer cantabile.
Numéro du produit: VLB 33
Prix à partir de 8,99 €
TTC
Type de produit
Format papier
Partition PDF

Détails du produit

Description

C'est la sonate des trilles du Diable qui a immortalisé Tartini (1692-1770) bien qu'elle n'ait été qu'une oeuvre parmi un nombre immense de concertos et de sonates pour cordes et plus particulièrement pour son instrument, le violon. La présente "Sonata en Re maggiore per Violino solo" est techniquement exigeante sans être surchargée. Les mouvements lents, l'andante cantabile introductif et le largo intitulé TASSO, composé sur  un chant de gondolier vénitien, donne au soliste l'opportunité de jouer cantabile. Le minuetto enjoué respire clairement l'esprit d'une époque postbaroque tandis que l'allegro assai en deuxième position mêle des passages vigoureux à d'autres sentimentaux et enjôleurs. Le mouvement ambigu caractéristique se répète après le minuetto, terminant ainsi la sonate. 

Plus d'infos

Titre:
Sonate en ré majeur
Niveau de difficulté:
moyen
Maison d'édition:
Schott Music
Clé:
ré majeur
Séries:
Titre:
Sonate en ré majeur
Niveau de difficulté:
moyen
Maison d'édition:
Schott Music
Clé:
ré majeur
Séries:
Titre:
Sonate en ré majeur
Niveau de difficulté:
moyen
Maison d'édition:
Schott Music
Clé:
ré majeur
Séries:

Détails techniques

Numéro du produit:
VLB 33
ISMN13:
979-0-001-11887-3
Numéro du produit:
VLB 33
ISMN13:
979-0-001-11887-3
Poid:
0,05 kg
Pages :
4
Format:
23.1cm x 30.3cm
Obligatoire :
Reliure à dos agrafé
Numéro du produit:
VLB 33 Q49686
ISMN13:
979-0-001-11887-3
Pages :
8
Format de fichier:
(PDF / 410,82 KB)

Plus de cette série

Edition Schott
Violin Library

Commentaires

Écrire la première critique